TOCOANO,

MARDI 7 FEVRIER :

A 3 heures du matin, nous ne dormions pas, les routards font la bringue et pas en sourdine ! Je suis sortie pousser un « coup de gueule » qui, bien qu’en français a été compris... A 11 heures, nous quittions l’endroit pour la VALLEE DE LA LUNA. Dans tous les guides il est recommandé d’y aller au coucher du soleil, pour admirer la vallée aux couleurs changeantes, sa dune géante, et ses formations géologiques sculptées par le vent. En journée c’est tout aussi spectaculaire, et on est beaucoup plus tranquille.

Les trois Marias sculptées par le vent

Le volcan LICANCABUR domine de ses 5 916 m la région de SAN PEDRO DE ATACAMA

La chaleur de plomb du début de l’après midi a viré au temps orageux. D’épais nuages noirs se sont accrochés sur les volcans environnants, mais nous avons tout de même eu le temps d’aller voir la LAGUNA CEJAR où séjournent en principe des flamants roses. Mais ils n’y étaient pas ! La lagune vert émeraude vaut toutefois les 12 kilomètres de piste.

L’orage menaçant toujours, nous avons rejoint un village de 500 habitants TOCOANO, beaucoup plus calme que SAN PEDRO et où nous sommes tranquillement installés pour la nuit.

L’orage est passé à côté. Il ne pleut pas dans le désert d’ATACAMA

En fin de soirée, arrive un camping car français avec à son bord un jeune couple de ...SAINT GERMAIN EN LAYE, parti pour une année sabbatique avec ses trois enfants : MATHIEU 10 ans, PIERRE 6 ans, et VICTOR 3 ans, des prénoms que nous aimons bien. On décide le soir même de faire un bout de route ensemble.